Anciennes éditions

Le Géoséminaire 2024 a exploré les usages de l’Intelligence Artificielle en géomatique pour optimiser l’analyse et la gestion des territoires. À travers des cas concrets, il présente les outils et méthodes pour améliorer le traitement des données géographiques, tout en abordant les avancées et limites de cette technologie.

Le Géoséminaire 2023 a présenté l’évolution et influence de la géomatique sur le territoire. La cartographie passée d’un simple outil de représentation à une discipline intégrant la géomatique et les nouvelles technologies. Grâce aux avancées en satellite, informatique et IA, l’analyse territoriale s’est transformée, soulevant des questions sur son impact et la résolution des problématiques territoriales, ainsi que de leurs utilités pour traiter des problématiques futures..

Le Géoséminaire 2022 a mis en évidence la valorisation des géo-données privées face aux enjeux de sensibilité et de protection. Avec l’essor des technologies de géolocalisation, la collecte et l’exploitation des données soulèvent des défis techniques, juridiques et éthiques. L’évènement a présenté des solutions pour concilier usage stratégique et respect de la confidentialité.

Le Géoséminaire 2021 a exposé le rôle de la géomatique au service de la résilience face aux crises écologiques. Face à la perte de biodiversité et au dérèglement climatique, il est essentiel d’agir et de s’adapter. Ce séminaire a abordé des enjeux clés tels que la préservation des ressources, l’artificialisation des sols, l’agriculture et les opportunités offertes par la révolution numérique.

Le Géoséminaire 2019 a étudié les géoservices de demain, leur impact sur les territoires et les technologies qu’ils utilisent. Il a évalué leur influence socio-économique et réfléchi aux évolutions futures des géoservices, en tenant compte des progrès technologiques et de l’évolution des données.

Le Géoséminaire 2018 a analysé l’évolution de la géomatique face aux nouvelles technologies comme les algorithmes, le big data et le machine learning, ainsi qu’à la démocratisation de la cartographie via l’Open Data. L’événement a interrogé le rôle du géomaticien et a proposé des réflexions sur les bonnes pratiques à adopter. Des conférences et une table ronde ont permis de débattre des défis actuels et futurs de la filière.

Le Géoséminaire 2017 a traité de la géomatique pour la synergie entre les acteurs des territoires. Il a offert l’opportunité d’échanger avec des experts de l’information géographique (AFIGEO, GEOSUD, etc.) et de rencontrer des acteurs diversifiés de la géomatique (bureaux d’études, établissements publics, associations, collectivités territoriales, etc.). L’événement a permis de renforcer la synergie entre ces différents acteurs des territoires, favorisant les échanges et la collaboration dans le domaine de la géomatique.

Le Géoséminaire 2016 a évalué l’impact de la géomatique dans la gestion de l’eau, un secteur marqué par de nombreuses innovations grâce à cette discipline. L’événement a réuni la communauté géomatique pour discuter des solutions adaptées à l’usage des données géographiques dans la gestion de l’eau.

Le Géoséminaire 2015 a approfondi l’influence de la géomatique dans le développement des territoires intelligents, en mettant l’accent sur l’importance des technologies de l’information et de la communication (TIC). Il a rassemblé la communauté géomatique pour discuter de la manière dont ces technologies facilitent la gestion, l’interprétation et le développement des territoires, en intégrant leurs dimensions géographiques, sociales, environnementales et économiques.

Le Géoséminaire 2014 a abordé les enjeux liés à la qualité et aux conditions d’usage des données géographiques, dans un contexte marqué par l’évolution de la géomatique avec le développement d’Internet et des services cartographiques. L’ouverture des données via le mouvement Open Data a démocratisé leur accès et réutilisation, plaçant l’information géographique au cœur des enjeux de communication et de prise de décision. Cependant, ces dynamiques soulèvent des questions sur la qualité, l’interopérabilité et les conditions juridiques d’utilisation.

Le Géoséminaire 2013 a analysé les usages et besoins en données et services dans le cadre de la mise en place de l’Equipex GEOSUD, une plateforme offrant un accès mutualisé et gratuit aux données satellitaires pour les acteurs publics français. Il visait à contribuer à la spécification des outils et services de l’Equipex en s’appuyant sur les retours d’expérience et les besoins exprimés par les utilisateurs.

Le Géoséminaire 2012 s’est penché sur l’évolution du marché des données géographiques dans un contexte de transformations technologiques et sectorielles. L’événement a exploré la diversification des besoins des utilisateurs, ainsi que les nouvelles méthodes de production et de diffusion des données.

Le Géoséminaire 2011 a mis en lumière l’importance de la géomatique dans les démarches participatives, mettant en avant l’essor de la cartographie participative comme outil de collecte de données et de dialogue entre citoyens et institutions. Il a souligné comment des acteurs non-experts en géomatique s’approprient ces outils pour contribuer à la planification et à l’aménagement du territoire.

Le Géoséminaire 2010 s’est inscrit dans la dynamique de la directive INSPIRE en s’intéressant à la gestion et aux infrastructures de données géographiques au service des territoires. Il a abordé l’explosion de l’offre en données spatiales, l’interaction croissante des acteurs, la démocratisation de l’information géographique et la complexification de la gestion territoriale, offrant ainsi un aperçu des enjeux et des perspectives.

Le Géoséminaire 2009 a étudié la révolution des SIG nomades, portée par l’essor des technologies de géolocalisation (GPS, Galileo, Glonass), des terminaux mobiles connectés et des services géolocalisés (géoservices, LBS). Il a mis en avant l’impact croissant de ces solutions sur la mobilité des professionnels et sur la transformation des usages quotidiens grâce à des informations géolocalisées de plus en plus précises et accessible

Le Géoséminaire 2008 a examiné l’impact du Web 2.0 sur la géomatique, en particulier son influence sur les SIG collaboratifs. L’événement a exploré des thèmes tels que l’intelligence collective à travers les réseaux sociaux et les processus participatifs (globes virtuels, web collaboratif), ainsi que la mise à disposition ordonnée de l’information géographique numérique (webservices cartographiques, interopérabilité des données).